Un chirurgien-dentiste toulousain exerçant depuis 1976 regrette d’être confronté à « l’obscurantisme » de son Conseil de l’Ordre en matière d’électrosensibilité et de chimicosensibilité – Le procès d’appel aura lieu devant la Chambre disciplinaire nationale le 7 septembre prochain 16 Rue Spontini à 15h30

 

Information importante : Audience reportée le 04/09/23 à une date encore inconnue à ce jour.

 

La sensibilité ou hypersensibilité aux produits chimiques et aux ondes électro-magnétiques, qui correspond pourtant à une réalité observée, fait encore l’objet de discussions scientifiques concernant l’explication technique des mécanismes et la détermination de l’intensité des seuils d’incidence (l’ANSES mène actuellement une étude pour comprendre ces mécanismes suivant les recommandation de l’OMS depuis 2004). Cependant des certitudes existent déjà : plus personne n’accepterait l’installation d’amalgames au mercure dans la bouche de femmes enceintes ou d’enfants, ni d’antennes-relais à proximité d’hôpitaux et d’écoles… Mais des traditions sont plus résistantes que d’autres à la considération des troubles subis, au détriment souvent de la qualité des soins et conseils à prodiguer aux patients victimes.

C’est le blocage auquel est confronté le Docteur Gérard DIEUZAIDE qui subit la cabale de son Conseil de l’Ordre pour avoir sauvé une patiente, en ayant conseillé le retrait de gouttières et de taquets en résine, ce qui réglait immédiatement son problème : « Je souhaite par ces mots vous remercier chaleureusement car vous m’avez redonné espoir et confiance », « mon corps a retrouvé mobilité et motricité fine, je n’ai plus de douleurs articulaires et musculaires (…), je n’ai plus de migraines ni de sensations d’oppression, de flou et de lourdeurs, j’ai retrouvé la santé » !

Dans ce contexte pourtant honorable, l’Ordre des chirurgiens-dentistes de Toulouse poursuivait son confrère et lui reprochait de nombreuses fautes – dont la délivrance de soins non-conformes aux données acquises de la science, la réalisation d’acte de nature à déconsidérer la profession, la diffusion de diagnostics insuffisamment éprouvés la de rédaction d’un certificat de complaisance – alors qu’il avait sauvé sa patiente. D’autant plus qu’il n’avait pas même prodigué de soins dans le cas considéré, mais uniquement reçu en urgence cette patiente en état de souffrance, qu’il réorientait vers son médecin au moyen d’une lettre cachetée au sein de laquelle il lui conseillait le simple retrait temporaire du traitement… qui sauvait la patiente ! Ce qui ajoute au caractère politique et disproportionné du dossier.

Mais la Chambre disciplinaire de Toulouse – qui l’innocentait concernant divers reproches – allait malgré tout l’interdire d’exercer sa profession durant 6 mois dont 3 mois avec sursis pour les prétendues rédaction d’un certificat médical de complaisance, violation du secret professionnel (en contradiction de l’exercice des droits de la défense) et diffusion de diagnostics ou traitements insuffisamment éprouvés.

Désormais le Dr. DIEUZAIDE souhaite donc convaincre la chambre disciplinaire d’appel du bien-fondé de son intervention, mais aussi de sa pratique médicale attentive à prendre en considération les paramètres complémentaires de chirurgie-dentaire, de posturologie, de chimicosensibilité et d’électrohypersensibilité.

Il sera soutenu par la patiente concernée ayant souhaité intervenir, et par les associations ZONE BLANCHE présidée par la députée européenne Mme Michèle RIVASI (« Le Docteur Gérard Dieuzaide est un praticien exemplaire dans le sens où il a cherché à soigner une catégorie de patients pour lesquels les thérapeutiques jusqu’ici utilisés n’étaient pas efficientes. Il a fait une recherche et a trouvé et développé une technique de détection des intolérances aux matériels prothétiques implantés dans la denture »), ROBIN DES TOITS (qui soutient »un docteur qui a diffusé des traitements largement éprouvés et ayant sauvé des milliers de victimes d’EHS et de MCS ») et par l’association de chimicosensibles SOS MCS.

 

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